Iron Man en pyjama

Atelier CinĂ©ma – Ăcole de Lavelanet – 2017 Quand Iron Man intervient pour rĂ©soudre un conflit Ă la cantine… « Iron Man en pyjama » est un film Ă©crit, rĂ©alisĂ© et interprĂ©tĂ© par les enfants de l’Ă©cole de Lavelanet, dans le cadre des ateliers cinĂ©ma de l’association La Biz’ART’Rit & le projet REP 2017. Intervenants : LoĂŻc Marchand , Adeline Gouyette , Nirina Ledantec
La souris et le dragon

Atelier CinĂ©ma – Ăcole de Lavelanet – 2017 Un dragon trĂšs fĂąchĂ© car une petite souris lui a marchĂ© sur le pied… « La souris et le dragon » est un film Ă©crit, rĂ©alisĂ© et interprĂ©tĂ© par les enfants de l’Ă©cole de Lavelanet, dans le cadre des ateliers cinĂ©ma de l’association La Biz’ART’Rit & le projet REP 2017. Intervenants : LoĂŻc Marchand , Adeline Gouyette , Nirina Ledantec
L’amour

Atelier CinĂ©ma – Ăcole de Lavelanet – 2017 Comment rĂ©soudre un conflit grĂące Ă un message clair? « L’amour » est un film Ă©crit, rĂ©alisĂ© et interprĂ©tĂ© par les enfants de l’Ă©cole de Lavelanet, dans le cadre des ateliers cinĂ©ma de l’association La Biz’ART’Rit & le projet REP 2017. Intervenants : LoĂŻc Marchand , Adeline Gouyette , Nirina Ledantec
S’TV

Atelier CinĂ©ma – LycĂ©e PyrĂšne, Pamiers – 2017 « S’TV, personnage emblĂ©matique d’une nouvelle Ăšre, on l’aime, on l’adore, on est fan. Il pimente notre quotidien, chaque jour est encore plus excitant, notre vie devient plus intense. On en jouit, on touche l’euphorie, rien de plus plaisant que vivre sans penser et agir sans s’en soucier. S’TV dit, je fais. Tout est Ă©numĂ©rĂ©, dictĂ© … imposĂ© ?  » Un film Ă©crit, rĂ©alisĂ© et interprĂ©tĂ© par les Ă©tudiants du LycĂ©e PyrĂšne Ă Pamiers dans le cadre de l’atelier cinĂ©ma de l’association La Biz’ART’Rit. Intervenants : LoĂŻc Marchand , Adeline Gouyette
Fait pas ci! Fait pas ça!

Atelier CinĂ©ma – Foyer rural de Pourcharesses – Villefort (48) – Avril 2017 Et si on inversait les rĂŽles ?! Les parents vus par les enfants… Une comĂ©die Ă©crite, rĂ©alisĂ©e et jouĂ©e par les enfants du foyer rural de Pourcharesses (48) lors de l’atelier cinĂ©ma « Les petits cinĂ©astes », Intervenant : LoĂŻc Marchand
David Lachavanne – POINTS DE REPĂRE . REPĂRES DE POINT

POINTS DE REPĂRE . REPĂRES DE POINT est un projet qui relie l’art contemporain au patrimoine. Avec la complicitĂ© et lâaide de leur municipalitĂ©, six bastides de l’association des Bastides du Rouergue ont accueilli chacune un artiste. AprĂšs deux rĂ©sidences de un mois, six Ćuvres ont vu le jour dans l’espace public. LâINAUGURATION DU PARCOURS se dĂ©roulera samedi 29 avril en faisant Ă©tape dans chacune des bastides participantes pour dĂ©couvrir les Ćuvres et rencontrer les artistes. âšLes dĂ©placements peuvent se faire avec votre vĂ©hicule personnel. âšIl vous est Ă©galement proposĂ© de profiter de cette journĂ©e en bus affrĂ©tĂ© par les soins de lâAtelier Blanc, dans la limite de 50 places, avec repas du midi et du soir compris – gratuit, uniquement sur rĂ©servation au 06 30 53 37 92 avant le 10 avril 2017. âšâšBUS ET REPAS Vous pouvez choisir le bus et/ou repas du midi et/ou repas du soir. Le parcours en bus est notamment dĂ©taillĂ© sur la fiche d’inscription. Le convivial repas de midi se tiendra Ă la salle des fĂȘtes de La Bastide LâĂvĂȘque avec stockfisch au menu et tartes fruitĂ©es en dessert ! Le soir sera quant Ă lui festif avec buffet dĂźnatoire Ă salle des fĂȘtes de La Madeleine Ă Villefranche de Rouergue. Cette soirĂ©e sera ponctuĂ©e par des interventions musicales d’ensembles de l’antenne de Villefranche du Conservatoire Musique et ThĂ©atre de l’Aveyron (CRDA). LE PARCOURS DU 29.04.2017  09h20 > SAUVETERRE DE ROUERGUE . DAVID LACHAVANNE âšPlace aux Arcades 11h05 > RIEUPEYROUX . ALEXANDRA POUZET + BRUNO ALMOSNINO âšPlace de la MĂ©diathĂšque 12h40 > LA BASTIDE L’ĂVĂQUE . PASCALE MIJARES âšPlace du Lavoir 15h40 > NAJAC . ROBIN GODDE âšPlace Saint-BarthĂ©lĂ©my âš17h40 > VILLENEUVE D’AVEYRON . FAUSTINE JACQUOT âšOffice de Tourisme, Boulevard Cardalhac 19h15 > VILLEFRANCHE DE ROUERGUE . EMMANUELLE DUCROCQ âšRue du Marteau Au-delĂ du samedi 29 avril, les Ćuvres restent Ă dĂ©couvrir ou Ă redĂ©couvrir sur les diffĂ©rents sites. Plus d’infos en ligne : Atelier Blanc
FOCUS sur l’exposition « I’m not a mile hight Said Alice »

« Je ne mesure pas 1500 mĂštres de haut, dit Alice » L’association la Biz’Art Rit expose les crĂ©ations de quatre de ses membres à « la Limonaderie » , nouveau pĂŽle artistique situĂ© Ă Foix. L’exposition est visible du 30 Mars jusqu’au 03 Mai 2017, selon les disponibilitĂ©s d’ouverture du lieu. Le thĂšme retenu pour cette ouverture est celui d’Alice au Pays des Merveilles. Nous avons donc choisi d’intituler cette exposition « I’m not a mile hight, said Alice ». Ce qui se traduit textuellement par « je ne mesure pas 1500 mĂštres de haut, dit Alice » Cette remarque est prononcĂ©e lors du procĂšs du « valet », Ă la fin de l’histoire oĂč l’absurditĂ© de la plaidoirie du Roi rĂ©sonne avec la rĂ©elle progression du rĂȘve d’Alice. Alice va bientĂŽt se rĂ©veiller, elle retrouve peu Ă peu sa taille « normale ». La logique, la bonne foi, l’innocence d’Alice se heurtent aux inepties, aux absurditĂ©s dĂ©battues trĂšs sĂ©rieusement par les diffĂ©rents personnages de ce Pays des Merveilles. La tension Ă©manant d’une possible sentence de peine de mort va amener Alice Ă sortir du rĂȘve, en dĂ©couvrant soudain son rĂŽle de rĂȘveuse. La terrible reine se transforme en jeu de carte lorsqu’Alice en fait le constat. (« Qui se soucie de vous et de vos ordres ? Vous n’ĂȘtes qu’un jeu de carte ! ») ⊠En fait peut ĂȘtre qu’Ă un moment, Alice va bien mesurer 1500 mĂštres de haut, mais il s’agit d’un rapport d’Ă©chelle, et de relativitĂ©. Durant ce procĂšs, je remarque surtout la fraiche innocence de la jeune fille qui commence Ă douter du monde dans lequel elle Ă©volue. Elle peut, Ă ce moment lĂ , et en sa qualitĂ© de tĂ©moin, prendre position et s’insurger contre l’injustice et la dĂ©raison de ce qu’elle est en train de vivre. Nous avons donc choisi de vous prĂ©senter des crĂ©ations qui revisitent ces notions de paradoxe et d’absurditĂ©, tout en s’inspirant de rĂ©flexions ou de constats sur notre monde, et sur notre sociĂ©tĂ©. Ces photographies, sculptures, installations artistiques et autre « ballade au bout de l’oreille » jouent de leurs esthĂ©tiques, de leurs natures dâĆuvres d’art ou de leurs formes pour mieux questionner notre propre rĂŽle au sein de la sociĂ©tĂ©. DiffĂ©rentes lectures deviennent alors possibles selon nos positionnements respectifs, notre curiositĂ© ou nos apathies maladives ; en tant que citoyen, spectateur, consommateur, acteur, selon notre Ă©thique ou nos convictions personnelles, ces crĂ©ations plastiques ou sonores, pourront peut-ĂȘtre jouer sur la « bonne » corde sensible. En commençant par le hall dâentrĂ©e, vous trouverez une sculpture-machine conçue par David Lachavanne. « Le mutoscope » Caisson servant Ă lâanimation dâimages. (ancĂȘtre du dessin animĂ©/). C’est une installation artistique manipulable par le public dans laquelle est prĂ©sentĂ©e une histoire, qui place le consommateur dans le rĂŽle d’acteur de sa propre consommation. AprĂšs avoir poussĂ© un caddy dans les rayons d’un supermarchĂ©, l’action de prendre un morceau de viande nous place dans le rĂŽle du dĂ©coupeur de vache. « Plongeur 1 et 2, et Chasseur 1 et 2 » Vient ensuite, au mur, une sĂ©rie de photographies de LoĂŻc Machand oĂč l’absurditĂ© parle d’elle mĂȘme, et oĂč il est encore question de consommation. « Bunny Boy » Court mĂ©trage reÌaliseÌ en ArieÌge en 2014 par LoĂŻc Marchand. « Le terme anthropomorphisme deÌsigne la tendance aÌ attribuer aux animaux des caracteÌristiques propres aÌ lâHomme. Le point de deÌpart de ma reÌflexion sur lâanthropomorphisme se situe dans une remise en question de mon rapport au monde et aÌ lâautre. AimeÌ ou redouteÌ, lâanimal a toujours fascineÌ lâHomme. Sa reÌaliteÌ ou sa figure ont eu et ont toujours pour effet de et de renvoyer lâhumaniteÌ aÌ ses peurs, aux exceÌs de ses propres comportements par la construction de mythes, de reÌcits fabuleux opeÌrant comme un miroir. Cette relation paradoxale entre haine et amour est lâexpression dâune attitude anthropomorphe, câest aÌ dire de la manieÌre dont lâHomme projette ses sentiments et ses eÌmotions sur lâanimal. Ce court-mĂ©trage est lâaboutissement dâune reÌflexion sur deux types de perversions de noÌtres socieÌteÌ : le sexe et la teÌleÌvision. ReÌaliseÌs encore une fois avec une volonteÌ de non sens, mais aussi avec un sentiment dâangoisse, ce films est avant tout eÌteÌ creÌeÌs autour dâune obsession : celle du lapin. Le lapin est adopteÌ comme symbole un peu partout dans le monde et le marketing sâen est eÌgalement empareÌ, creÌant des mascottes ceÌleÌbres (Playboy, Nesquik), en image, en peluche, en chanson ou en personnage de fiction (Donnie Darko, Alice au pays des merveilles). Les lapins font partis des classiques de lâunivers enfantin (Jeannot lapin). A travers ce court meÌtrage de lapin, jâoffre une nouvelle fable, une nouvelle fiction contemporaine flirtant avec la dĂ©raison ou le rĂȘve. » Dans la salle principale, nous retrouvons au mur une sĂ©rie de photographies de Monsieur Marchand, tirĂ©s du film Bunny Boy. « DerriĂšre le rideau » de Philippe Debiol Quây a tâil derriĂšre le rideau? Cette crĂ©ation s’interroge sur la notion de censure Ă travers les situations, l’Ă©poque, le lieu et les diverses sensibilitĂ©s individuelles. Le public devient acteur dans le dĂ©voilement de cette crĂ©ation en s’engageant personnellement Ă ouvrir le rideau. La scĂšne reprĂ©sentĂ©e nous parle d’imaginaire ; elle mĂȘle religion, mythologie, symboles et fantasmes en jouant Ă la fois des codes propres Ă lâillustration BD et de ceux de l’Art traditionnel, dans l’interprĂ©tation personnelle d’une histoire. Pour l’artiste : [pullquote align=center] Lâimaginaire est pour lâĂȘtre humain une Ă©chappatoire, oĂč dĂ©rision et satire trouvent leur sens ; un endroit secret, privĂ©, propre Ă chacun, un vĂ©ritable espace de libertĂ© oĂč seule la censure nâa pas sa place. [/pullquote] A travers ce sujet sensible et d’actualitĂ© du « peux-t-on rire de tout? » Philippe Debiol voile son impudique sens de l’humour d’un rideau de velours rouge, convoquant ainsi notre curiositĂ©. « Sortir du bocal » & « JIMI » Nirina Ledantec Ces poissons reprĂ©sentent pour lui la fertilitĂ©, l’abondance, la sagesse, autant de choses qui symboliquement restent prisonniers du bocal avec le poisson. Il profite de ces images pour nous rappeler que nous pouvons pousser le vice de notre de super-prĂ©dation sur les autres espĂšces, pour un but mĂȘme simplement dĂ©coratif. Une peinture créée spĂ©cialement pour
« I’m not a mile hight » Said Alice

Exposition de lâassociation la BizâArt Rit Ă la Limonaderie, pĂŽle artistique de Foix. Inauguration & vernissage le 31 Mars Ă 19 h au 8 bis Rue de lâEspinet 09000 Foix Artistes exposants : Philippe Debiol, David Lachavanne, Nirina Ledantec et LoĂŻc Marchand Ă l’occasion de l’inauguration du pĂŽle artistique Ă Foix « La Limonaderie », l’association la Biz’Art Rit soutient ce projet en intervenant dans ses murs. MotivĂ© par la crĂ©ation et la production de spectacles vivants, de théùtre, et pour l’occasion, par le thĂšme particuliĂšrement Ă©vocateur d’Alice au Pays des Merveilles, La Limonaderie exposera les Ćuvres de plusieurs artistes de la Biz’Art Rit du 31 Mars au 03 Mai 2017. Ceux-ci prĂ©senteront des crĂ©ations et des performances sonores, ludiques et participatives entrant en rĂ©sonance avec le lieu, le thĂšme et revisitant les notions de paradoxe et d’absurde chĂšres Ă Lewis Caroll. Emprunt d’une rĂ©flexion sur l’actualitĂ©, impliquant le public en le mettant Ă contribution, ces photographies, sculptures, installations artistiques et autre « ballade au bout de l’oreille » jouent de leurs esthĂ©tiques, de leurs natures dâĆuvres d’art ou de leurs formes pour mieux questionner notre propre rĂŽle au sein de la sociĂ©tĂ©. Mais, ne serais-ce pas encore l’heure du thĂ©? Mr Rachavor Plus d’infos Ă propos de La Limonaderie sur Facebook et sur leur site internet
F(r)iction – Philippe Debiol – CHIVA

Exposition du 02 au 13 Mars 2017 – Centre Hospitalier du Val d’AriĂšge [pullquote align=center] L’exposition F(r)iction propose une dualitĂ© mais Ă©galement une complĂ©mentaritĂ© Ă la fois artistique et politique. Parfois rĂ©voltĂ©es, parfois Ă©motives, les Ćuvres de Philippe Debiol se lisent Ă double sens, le bon ne peut exister sans le mauvais et inversement. La confrontation entre le rĂ©el et l’imaginaire font parti des grands axes de crĂ©ations de l’artiste. [/pullquote] Philippe Debiol vit et crĂ©e Ă Foix en AriĂšge. Il dessine dĂšs son plus en jeune Ăąge en gribouillant sur les tables de lâĂ©cole ou sur de multiples carnets. Philippe est influencĂ© par le milieu de la bande dessinĂ©e et du street art, il nâhĂ©site pas aujourdâhui Ă assumer et casser les codes de ces 2 mouvements artistiques en mĂ©langeant imaginaire avec contradiction et Ă©motion. Zombies, super hĂ©ros… ou paysages imaginaires, Philippe assume et met en avant ses rĂ©fĂ©rences de la bande dessinĂ©e en sortant les personnages de leur contexte tout en leur offrant une nouvelle mise en situation, ainsi quâune nouvelle rĂ©flexion quelle soit engagĂ©e, Ă©motive, humoristique ou simplement esthĂ©tique.
BEE MY MUSE L’art et l’abeille / Peinture sur ruche

Vernissage de l’exposition Bee my Muse, le 10/03 Ă 18h30 Ferme d’Icart Montels (09) Du 10/03/17 au 07/04/2017 Ferme d’ICART Au XIX siĂšcle, en SlovĂ©nie les apiculteurs ont remarquĂ© que les abeilles Ă©taient capables de distinguer les couleurs. Les SlovĂšnes ont commencĂ© Ă peindre d’une couleur diffĂ©rente chaque fronton de ruche pour diminuer la âdĂ©riveâ des abeilles. Petit Ă petit les plus imaginatifs ont remplacĂ© la monochromie par des motifs peints, figuratifs, âvivantsâ. Ce n’est plus alors un simple Ă©dicule fonctionnel, c’est le miroir d’une sociĂ©tĂ©, l’album d’un imaginaire populaire: des mariages, des dĂ©mons, la vie des saints, les ages de la vie, la capture d‘un essaim, la femme, la vie en couple… De la dĂ©couverte d’un livre d’occasion sur l’art et l’abeille ainsi que de la rencontre d’un apiculteur français et d’un artiste catalan naĂźt cette exposition vivante, Ă©volutive et multisensorielle. Une exposition prĂ©-saison apicole oĂč vous pourrez dĂ©couvrir les ruches peintes par les artistes, sorties de leurs ateliers. Ensuite elles partiront en production de miel sur le PNRPA (Parc Naturel Regional des PyrĂ©nĂ©s Ariegeoises) pendant la saison 2017. Elles vivront, elles seront façonnĂ©es par le soleil et la pluie, par la propolis et la cire, par les transhumances, elles hĂ©bergeront des milliers de vies dans son intĂ©rieur… la nature, les abeilles et l’apiculteur finiront le travail de l’artiste. Les Ćuvres ne seront complĂštes qu’une fois la saison terminĂ©e. Une derniĂšre exposition post saison aura lieu le mois de dĂ©cembre oĂč l’on pourra les regarder, mais aussi sentir la cire, la propolis, la fumĂ©e, et gouter le miel qui y a Ă©tĂ© produit. Cyrielle Gondon et Nirina Ledantec, artistes membres de La Biz’ART’Rit participent au projet BEE MY MUSE, venez dĂ©couvrir leurs piĂšces et celles des autres artistes ! Plus d’infos sur le projet BEE MY MUSE : beemymuseproject // Facebook