La Biz'ART'Rit

L’amour

Atelier CinĂ©ma – École de Lavelanet – 2017 Comment rĂ©soudre un conflit grĂące Ă  un message clair? « L’amour » est un film Ă©crit, rĂ©alisĂ© et interprĂ©tĂ© par les enfants de l’Ă©cole de Lavelanet, dans le cadre des ateliers cinĂ©ma de l’association La Biz’ART’Rit & le projet REP 2017. Intervenants : LoĂŻc Marchand , Adeline Gouyette , Nirina Ledantec

S’TV

Atelier CinĂ©ma – LycĂ©e PyrĂšne, Pamiers – 2017 « S’TV, personnage emblĂ©matique d’une nouvelle Ăšre, on l’aime, on l’adore, on est fan. Il pimente notre quotidien, chaque jour est encore plus excitant, notre vie devient plus intense. On en jouit, on touche l’euphorie, rien de plus plaisant que vivre sans penser et agir sans s’en soucier. S’TV dit, je fais. Tout est Ă©numĂ©rĂ©, dictĂ© … imposĂ© ?  » Un film Ă©crit, rĂ©alisĂ© et interprĂ©tĂ© par les Ă©tudiants du LycĂ©e PyrĂšne Ă  Pamiers dans le cadre de l’atelier cinĂ©ma de l’association La Biz’ART’Rit. Intervenants : LoĂŻc Marchand , Adeline Gouyette

Fait pas ci! Fait pas ça!

Atelier CinĂ©ma – Foyer rural de Pourcharesses – Villefort (48) – Avril 2017 Et si on inversait les rĂŽles ?! Les parents vus par les enfants… Une comĂ©die Ă©crite, rĂ©alisĂ©e et jouĂ©e par les enfants du foyer rural de Pourcharesses (48) lors de l’atelier cinĂ©ma « Les petits cinĂ©astes », Intervenant : LoĂŻc Marchand

David Lachavanne – POINTS DE REPÈRE . REPÈRES DE POINT

POINTS DE REPÈRE . REPÈRES DE POINT est un projet qui relie l’art contemporain au patrimoine. Avec la complicitĂ© et l’aide de leur municipalitĂ©, six bastides de l’association des Bastides du Rouergue ont accueilli chacune un artiste. AprĂšs deux rĂ©sidences de un mois, six Ɠuvres ont vu le jour dans l’espace public.   L’INAUGURATION DU PARCOURS se dĂ©roulera samedi 29 avril en faisant Ă©tape dans chacune des bastides participantes pour dĂ©couvrir les Ɠuvres et rencontrer les artistes. ‹Les dĂ©placements peuvent se faire avec votre vĂ©hicule personnel. ‹Il vous est Ă©galement proposĂ© de profiter de cette journĂ©e en bus affrĂ©tĂ© par les soins de l’Atelier Blanc, dans la limite de 50 places, avec repas du midi et du soir compris – gratuit, uniquement sur rĂ©servation au 06 30 53 37 92 avant le 10 avril 2017.   ‹‹BUS ET REPAS Vous pouvez choisir le bus et/ou repas du midi et/ou repas du soir. Le parcours en bus est notamment dĂ©taillĂ© sur la fiche d’inscription. Le convivial repas de midi se tiendra Ă  la salle des fĂȘtes de La Bastide L’ÉvĂȘque avec stockfisch au menu et tartes fruitĂ©es en dessert ! Le soir sera quant Ă  lui festif avec buffet dĂźnatoire Ă  salle des fĂȘtes de La Madeleine Ă  Villefranche de Rouergue. Cette soirĂ©e sera ponctuĂ©e par des interventions musicales d’ensembles de l’antenne de Villefranche du Conservatoire Musique et ThĂ©atre de l’Aveyron (CRDA).   LE PARCOURS DU 29.04.2017  09h20 > SAUVETERRE DE ROUERGUE . DAVID LACHAVANNE ‹Place aux Arcades 11h05 > RIEUPEYROUX . ALEXANDRA POUZET + BRUNO ALMOSNINO ‹Place de la MĂ©diathĂšque 12h40 > LA BASTIDE L’ÉVÊQUE . PASCALE MIJARES ‹Place du Lavoir 15h40 > NAJAC . ROBIN GODDE ‹Place Saint-BarthĂ©lĂ©my ‹17h40 > VILLENEUVE D’AVEYRON . FAUSTINE JACQUOT ‹Office de Tourisme, Boulevard Cardalhac 19h15 > VILLEFRANCHE DE ROUERGUE . EMMANUELLE DUCROCQ ‹Rue du Marteau   Au-delĂ  du samedi 29 avril, les Ɠuvres restent Ă  dĂ©couvrir ou Ă  redĂ©couvrir sur les diffĂ©rents sites. Plus d’infos en ligne : Atelier Blanc

FOCUS sur l’exposition « I’m not a mile hight Said Alice »

« Je ne mesure pas 1500 mĂštres de haut, dit Alice » L’association la Biz’Art Rit expose les crĂ©ations de quatre de ses membres Ă  « la Limonaderie » , nouveau pĂŽle artistique situĂ© Ă  Foix. L’exposition est visible du 30 Mars jusqu’au 03 Mai 2017, selon les disponibilitĂ©s d’ouverture du lieu. Le thĂšme retenu pour cette ouverture est celui d’Alice au Pays des Merveilles. Nous avons donc choisi d’intituler cette exposition « I’m not a mile hight, said Alice ». Ce qui se traduit textuellement par « je ne mesure pas 1500 mĂštres de haut, dit Alice » Cette remarque est prononcĂ©e lors du procĂšs du « valet », Ă  la fin de l’histoire oĂč l’absurditĂ© de la plaidoirie du Roi rĂ©sonne avec la rĂ©elle progression du rĂȘve d’Alice. Alice va bientĂŽt se rĂ©veiller, elle retrouve peu Ă  peu sa taille « normale ». La logique, la bonne foi, l’innocence d’Alice se heurtent aux inepties, aux absurditĂ©s dĂ©battues trĂšs sĂ©rieusement par les diffĂ©rents personnages de ce Pays des Merveilles. La tension Ă©manant d’une possible sentence de peine de mort va amener Alice Ă  sortir du rĂȘve, en dĂ©couvrant soudain son rĂŽle de rĂȘveuse. La terrible reine se transforme en jeu de carte lorsqu’Alice en fait le constat. (« Qui se soucie de vous et de vos ordres ? Vous n’ĂȘtes qu’un jeu de carte ! ») 
 En fait peut ĂȘtre qu’Ă  un moment, Alice va bien mesurer 1500 mĂštres de haut, mais il s’agit d’un rapport d’Ă©chelle, et de relativitĂ©. Durant ce procĂšs, je remarque surtout la fraiche innocence de la jeune fille qui commence Ă  douter du monde dans lequel elle Ă©volue. Elle peut, Ă  ce moment lĂ , et en sa qualitĂ© de tĂ©moin, prendre position et s’insurger contre l’injustice et la dĂ©raison de ce qu’elle est en train de vivre. Nous avons donc choisi de vous prĂ©senter des crĂ©ations qui revisitent ces notions de paradoxe et d’absurditĂ©, tout en s’inspirant de rĂ©flexions ou de constats sur notre monde, et sur notre sociĂ©tĂ©. Ces photographies, sculptures, installations artistiques et autre « ballade au bout de l’oreille » jouent de leurs esthĂ©tiques, de leurs natures d’Ɠuvres d’art ou de leurs formes pour mieux questionner notre propre rĂŽle au sein de la sociĂ©tĂ©. DiffĂ©rentes lectures deviennent alors possibles selon nos positionnements respectifs, notre curiositĂ© ou nos apathies maladives ; en tant que citoyen, spectateur, consommateur, acteur, selon notre Ă©thique ou nos convictions personnelles, ces crĂ©ations plastiques ou sonores, pourront peut-ĂȘtre jouer sur la « bonne » corde sensible.   En commençant par le hall d’entrĂ©e, vous trouverez une sculpture-machine conçue par David Lachavanne. « Le mutoscope » Caisson servant Ă  l’animation d’images. (ancĂȘtre du dessin animĂ©/). C’est une installation artistique manipulable par le public dans laquelle est prĂ©sentĂ©e une histoire, qui place le consommateur dans le rĂŽle d’acteur de sa propre consommation. AprĂšs avoir poussĂ© un caddy dans les rayons d’un supermarchĂ©, l’action de prendre un morceau de viande nous place dans le rĂŽle du dĂ©coupeur de vache.   « Plongeur 1 et 2, et Chasseur 1 et 2 » Vient ensuite, au mur, une sĂ©rie de photographies de LoĂŻc Machand oĂč l’absurditĂ© parle d’elle mĂȘme, et oĂč il est encore question de consommation. « Bunny Boy » Court mĂ©trage réalisé en Ariège en 2014 par LoĂŻc Marchand. « Le terme anthropomorphisme désigne la tendance à attribuer aux animaux des caractéristiques propres à l’Homme. Le point de départ de ma réflexion sur l’anthropomorphisme se situe dans une remise en question de mon rapport au monde et à l’autre. Aimé ou redouté, l’animal a toujours fasciné l’Homme. Sa réalité ou sa figure ont eu et ont toujours pour effet de et de renvoyer l’humanité à ses peurs, aux excès de ses propres comportements par la construction de mythes, de récits fabuleux opérant comme un miroir. Cette relation paradoxale entre haine et amour est l’expression d’une attitude anthropomorphe, c’est à dire de la manière dont l’Homme projette ses sentiments et ses émotions sur l’animal. Ce court-mĂ©trage est l’aboutissement d’une réflexion sur deux types de perversions de nôtres société : le sexe et la télévision. Réalisés encore une fois avec une volonté de non sens, mais aussi avec un sentiment d’angoisse, ce films est avant tout été créés autour d’une obsession : celle du lapin. Le lapin est adopté comme symbole un peu partout dans le monde et le marketing s’en est également emparé, créant des mascottes célèbres (Playboy, Nesquik), en image, en peluche, en chanson ou en personnage de fiction (Donnie Darko, Alice au pays des merveilles). Les lapins font partis des classiques de l’univers enfantin (Jeannot lapin). A travers ce court métrage de lapin, j’offre une nouvelle fable, une nouvelle fiction contemporaine flirtant avec la dĂ©raison ou le rĂȘve. » Dans la salle principale, nous retrouvons au mur une sĂ©rie de photographies de Monsieur Marchand, tirĂ©s du film Bunny Boy. « DerriĂšre le rideau » de Philippe Debiol Qu’y a t’il derriĂšre le rideau? Cette crĂ©ation s’interroge sur la notion de censure Ă  travers les situations, l’Ă©poque, le lieu et les diverses sensibilitĂ©s individuelles. Le public devient acteur dans le dĂ©voilement de cette crĂ©ation en s’engageant personnellement Ă  ouvrir le rideau. La scĂšne reprĂ©sentĂ©e nous parle d’imaginaire ; elle mĂȘle religion, mythologie, symboles et fantasmes en jouant Ă  la fois des codes propres Ă  l’illustration BD et de ceux de l’Art traditionnel, dans l’interprĂ©tation personnelle d’une histoire. Pour l’artiste : [pullquote align=center] L’imaginaire est pour l’ĂȘtre humain une Ă©chappatoire, oĂč dĂ©rision et satire trouvent leur sens ; un endroit secret, privĂ©, propre Ă  chacun, un vĂ©ritable espace de libertĂ© oĂč seule la censure n’a pas sa place. [/pullquote] A travers ce sujet sensible et d’actualitĂ© du « peux-t-on rire de tout? » Philippe Debiol voile son impudique sens de l’humour d’un rideau de velours rouge, convoquant ainsi notre curiositĂ©. « Sortir du bocal » & « JIMI » Nirina Ledantec Ces poissons reprĂ©sentent pour lui la fertilitĂ©, l’abondance, la sagesse, autant de choses qui symboliquement restent prisonniers du bocal avec le poisson.  Il profite de ces images pour nous rappeler que nous pouvons pousser le vice de notre de super-prĂ©dation sur les autres espĂšces, pour un but mĂȘme simplement dĂ©coratif. Une peinture créée spĂ©cialement pour

« I’m not a mile hight » Said Alice

Exposition de l’association la Biz’Art Rit Ă  la Limonaderie, pĂŽle artistique de Foix. Inauguration & vernissage le 31 Mars Ă  19 h au 8 bis Rue de l’Espinet 09000 Foix Artistes exposants : Philippe Debiol, David Lachavanne, Nirina Ledantec et LoĂŻc Marchand   À l’occasion de l’inauguration du  pĂŽle artistique Ă  Foix « La Limonaderie », l’association la Biz’Art Rit soutient ce projet en intervenant dans ses murs. MotivĂ© par la crĂ©ation et la production de spectacles vivants, de théùtre, et pour l’occasion, par le thĂšme particuliĂšrement Ă©vocateur d’Alice au Pays des Merveilles, La Limonaderie exposera les Ɠuvres de plusieurs artistes de la Biz’Art Rit du 31 Mars au 03 Mai 2017. Ceux-ci prĂ©senteront des crĂ©ations et des performances sonores, ludiques et participatives entrant en rĂ©sonance avec le lieu, le thĂšme et revisitant les notions de paradoxe et d’absurde chĂšres Ă  Lewis Caroll. Emprunt d’une rĂ©flexion sur l’actualitĂ©, impliquant le public en le mettant Ă  contribution, ces photographies, sculptures, installations artistiques et autre « ballade au bout de l’oreille » jouent de leurs esthĂ©tiques, de leurs natures d’Ɠuvres d’art ou de leurs formes pour mieux questionner notre propre rĂŽle au sein de la sociĂ©tĂ©. Mais, ne serais-ce pas encore l’heure du thĂ©? Mr Rachavor Plus d’infos Ă  propos de La Limonaderie sur Facebook et sur leur site internet

F(r)iction – Philippe Debiol – CHIVA

Exposition du 02 au 13 Mars 2017 – Centre Hospitalier du Val d’AriĂšge   [pullquote align=center] L’exposition F(r)iction propose  une dualitĂ© mais Ă©galement une complĂ©mentaritĂ© Ă  la fois artistique et politique. Parfois rĂ©voltĂ©es, parfois Ă©motives, les Ɠuvres de Philippe Debiol se lisent Ă  double sens, le bon ne peut exister sans le mauvais et inversement. La confrontation entre le rĂ©el et l’imaginaire font parti des grands axes de crĂ©ations de l’artiste. [/pullquote]   Philippe Debiol vit et crĂ©e Ă  Foix en AriĂšge. Il dessine dĂšs son plus en jeune Ăąge en gribouillant sur les tables de l’école ou sur de multiples carnets. Philippe est influencĂ© par le milieu de la bande dessinĂ©e et du street art, il n’hĂ©site pas aujourd’hui Ă  assumer et casser les codes de ces 2 mouvements artistiques en mĂ©langeant imaginaire avec contradiction et Ă©motion. Zombies, super hĂ©ros… ou paysages imaginaires, Philippe assume et met en avant ses rĂ©fĂ©rences de la bande dessinĂ©e en sortant les personnages de leur contexte  tout en leur offrant une nouvelle mise en situation, ainsi qu’une nouvelle rĂ©flexion quelle soit engagĂ©e, Ă©motive, humoristique ou simplement esthĂ©tique.  

BEE MY MUSE L’art et l’abeille / Peinture sur ruche

Vernissage de l’exposition Bee my Muse, le 10/03 Ă  18h30 Ferme d’Icart Montels (09) Du 10/03/17 au 07/04/2017 Ferme d’ICART Au XIX siĂšcle, en SlovĂ©nie les apiculteurs ont remarquĂ© que les abeilles Ă©taient capables de distinguer les couleurs. Les SlovĂšnes ont commencĂ© Ă  peindre d’une couleur diffĂ©rente chaque fronton de ruche pour diminuer la “dĂ©rive” des abeilles. Petit Ă  petit les plus imaginatifs ont remplacĂ© la monochromie par des motifs peints, figuratifs, “vivants”. Ce n’est plus alors un simple Ă©dicule fonctionnel, c’est le miroir d’une sociĂ©tĂ©, l’album d’un imaginaire populaire: des mariages, des dĂ©mons, la vie des saints, les ages de la vie, la capture d‘un essaim, la femme, la vie en couple… De la dĂ©couverte d’un livre d’occasion sur l’art et l’abeille ainsi que de la rencontre d’un apiculteur français et d’un artiste catalan naĂźt cette exposition vivante, Ă©volutive et multisensorielle. Une exposition prĂ©-saison apicole oĂč vous pourrez dĂ©couvrir les ruches peintes par les artistes, sorties de leurs ateliers. Ensuite elles partiront en production de miel sur le PNRPA (Parc Naturel Regional des PyrĂ©nĂ©s Ariegeoises) pendant la saison 2017. Elles vivront, elles seront façonnĂ©es par le soleil et la pluie, par la propolis et la cire, par les transhumances, elles hĂ©bergeront des milliers de vies dans son intĂ©rieur… la nature, les abeilles et l’apiculteur finiront le travail de l’artiste. Les Ɠuvres ne seront complĂštes qu’une fois la saison terminĂ©e. Une derniĂšre exposition post saison aura lieu le mois de dĂ©cembre oĂč l’on pourra les regarder, mais aussi sentir la cire, la propolis, la fumĂ©e, et gouter le miel qui y a Ă©tĂ© produit. Cyrielle Gondon et Nirina Ledantec, artistes membres de La Biz’ART’Rit participent au projet BEE MY MUSE, venez dĂ©couvrir leurs piĂšces et celles des autres artistes ! Plus d’infos sur le projet BEE MY MUSE : beemymuseproject // Facebook

Ça s’est passĂ© en 2016 !

expos 2016

L’association a participĂ© Ă  diffĂ©rents projets durant cette annĂ©e 2016, que ce soit Ă  l’occasion d’expositions collective, d’expositions individuelles de ses membres ou sous la forme d’interventions en milieu scolaire. Les deux temps forts de cette annĂ©e passĂ©, ont Ă©tĂ© sans aucun doute, l’organisation et la rĂ©alisation de deux expositions collectives. PIRATA, au chĂąteau de Castanet, en LozĂšre aura Ă©tĂ© un succĂšs pour l’implication de ses participants, ainsi que dans la qualitĂ© des Ɠuvres créées pour l’Ă©vĂšnement. La FourmiliĂšre, aura drainĂ© aussi beaucoup d’Ă©nergie, et permis de nous faire un peu mieux connaĂźtre en AriĂšge.   ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////   « Block Party #2 » – Centre culturel de Foix (09) – 26 Septembre / 1e Octobre 2016 Dans le cadre de l’Ă©vĂšnement #blockparty au centre culturel de Foix, venez dĂ©couvrir l’exposition du travail de Nirina Le Dantec aka Peter Paon De Milvingtsept et LoĂŻc Marchand. Du 26/09/2016 au 01/10/2016 – ouvert tous les jours de 14H Ă  17H   ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////   « Pirata » – Exposition collective – ChĂąteau de Castanet (48) Et voila ! l’exposition Pirata au chĂąteau au Castanet est terminĂ©e !! Un grand MERCI Ă  toutes celles et ceux qui nous ont soutenu pour ce projet, et qui sont venus voir cette exposition.     ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////   « Pirata » – Concert The Flying Pirates – La Guinguette du bout du lac (48) – 5 AoĂ»t 2016 Le projet « Pirata » c’est avant tout une collaboration entre La Biz’Art’Rit et le groupe de rock AriĂ©geois THE FLYING PIRATES, et la concrĂ©tisation de cette belle collaboration se fera le 5 AoĂ»t Ă  quelques pas du chĂąteau de Castanet, Ă  la Guinguette du bout du lac avec un concert spĂ©cial du groupe! Une chouette occasion de voir ou revoir l’exposition avant de se trĂ©mousser devant la scĂšne de ces pirates musicaux.   ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////   « Space in the Space » – Marion Cadiou / Adeline Gouyette / Floriana Marty – Espace Saint-Ravy – Montpellier – Jusqu’au 31 Juillet 2016 Au travers d’installations et Ă  l’aide de dessins reprĂ©sentants des plans du lieu, Floriana Marty, Marion Cadiou et Adeline Gouyette proposent une vision complĂ©mentaire et cohĂ©rente d’une certaine « spatialité ». Exposition du 8 au 31 Juillet Ă  l’Espace Saint-Ravy, Montpellier.   ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////   « Pirata » – Exposition collective – ChĂąteau de Castanet (48) – jusqu’au 31 AoĂ»t 2016 À travers le prisme de dix artistes plasticiens, graphistes ou illustrateurs, « Pirata » expose dix regards diffĂ©rents sur cette problĂ©matique singuliĂšre et actuelle qu’est la piraterie et sur ces diffĂ©rentes acceptions. Chacun exprime sa propre conception de ce thĂšme, en fonction de sa pratique, de sa vision ou de son expĂ©rience. Des pensĂ©es, des considĂ©rations autour de la rĂ©appropriation, du faux, de l’imagerie commune ou trĂšs personnelle de chacun matĂ©rialisĂ©es ou visitĂ©es par le biais de diffĂ©rents mĂ©diums se trouveront ainsi mises en espace, agencĂ©es les unes en fonction des autres. Cette premiĂšre expĂ©rience de commissariat d’exposition a pour vocation de fĂ©dĂ©rer et de mobiliser les diffĂ©rents artistes adhĂ©rents de notre jeune association dans le cadre d’une exposition collective. La sĂ©lection des artistes s’est opĂ©rĂ©e par leur rĂ©activitĂ© et par leur motivation vis Ă  vis de cette dĂ©marche crĂ©ative autours de ce thĂšme. Vernissage le 8 Juillet 2016. Plus de dĂ©tails ici   ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////   « Donner c’est donner, reprendre c’est voler » – Sebastien DurantĂ© – Bruxelles – 22/24 Avril 2016 « Le travail de SĂ©bastien DurantĂ© pourrait avoir pour horizon conceptuel de questionner le statut ontologique de l’Ɠuvre et de ses Ă©mulations et de reconsidĂ©rer la place de l’artiste et du crĂ©ateur face Ă  son Ɠuvre et celle des autres. À travers son approche sculpturale prenant comme modĂšles des Ɠuvres issus de l’antiquitĂ© comme de l’art pompier, de l’art moderne ou contemporain, il ne cesse d’opĂ©rer des dĂ©placements de sens et des dĂ©tournement de formes qui mettent en exergue les liens complexes qui unissent toute forme de pouvoir (politique, Ă©conomique, culturel, historique, etc…) Ă  son systĂšme de reprĂ©sentation pour en donner une lecture dĂ©mystificatrice. Un travail ironique oĂč le modĂšle n’est pas tant celui de l’auteur que celui du faussaire, un faussaire imparfait s’engouffrant dans les failles de tous ce qui fait ordre de reprĂ©sentation, bouleversant les paradigmes temporels et techniques qui rĂ©gissent nos relations au savoir et au voir. » Antone Israel Plus de dĂ©tails ici   ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////   « Biz’art (vous z’avez dit biz’art?) » – CHIVA – Saint-Jean de Verges – du 15 FĂ©vrier au 13 Mars 2016 – LoĂŻc MARCHAND   À travers cette exposition, LoÏc Marchand nous prĂ©sente trois axes de son travail artistique : ses photographies absurdes, qui sont un moyen de dĂ©tourner le rĂ©el ; ses peintures de la sĂ©rie « vielle France » , portraits des grandes dames de France qui sont devenues le fruit de leur bĂȘtise ; ainsi qu’une sĂ©rie de dessins anatomiques rĂ©vĂ©lant la beautĂ© du corps humain ainsi que sa complexitĂ© .   ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////  

La FourmiliĂšre, Parcours artistique collectif

  RĂ©alisation d’Ɠuvres d’art contemporain dans le centre ville de Foix Ces Ɠuvres sont une exercice de dĂ©mocratie participative ou le citoyen fuxĂ©ens se rĂ©approprie l’espace pour le transformer, l’amĂ©nager…  Ainsi, nous avons essayĂ© de mobiliser les jeunes des structures du FAJIP, les enfants des ALLAE, ainsi que les habitant du centre ville, afin de les sensibiliser Ă  nos pratiques artistiques, de partager nos savoir-faire, dans le but de dynamiser le centre ancien par des crĂ©ations artistiques contemporaines. La fourmiliĂšre symbolise cette idĂ©e de travail de groupe qui s’unit pour la mise en place d’un espace commun le centre ville, afin de lui donner une nouvelle lecture.   « L’espace urbain est le support physique de notre Histoire, on y cĂŽtoie notre passĂ©, on y invente notre futur… Se confronter Ă  une citĂ©, apporter des modifications dans une rue, sur une place, c’est questionner sa propre production artistique de maniĂšre contextuelle, mais c’est aussi rĂ©flĂ©chir Ă  notre rĂŽle d’acteur ou de mĂ©diateur social. En tant qu’association d’artistes, nous souhaitons permettre aux citoyens de demain de pouvoir transmettre leurs valeurs Ă  travers le concept de projets artistiques participatifs. Cet art « urbain » ou « in situ » s’engage dans une Ă©mulation sociale (rencontre, dialogue, confrontation…). CrĂ©er dans un lieu public pour l’artiste c’est inĂ©vitablement rencontrer sa population ; crĂ©er avec un public, c’est ĂȘtre Ă  l’écoute des participants afin de conjuguer les sentiments de chacun avec les rĂ©alitĂ©s d’une crĂ©ation artistique. » (Texte d’intention de la « Biz’Art Rit » ) Suite Ă  l’appel Ă  projet politique de la ville de Foix 2016 «Art urbain dans l’espace public», Le FAJIP et les artistes de l’association La Biz’ART’Rit ont dĂ©cidĂ© de s’associer afin de proposer un projet de crĂ©ation d’Ɠuvres dans l’espace urbain fuxĂ©en.   Le bilan de cette expĂ©rience a Ă©tĂ©, dans l’ensemble, trĂšs positif. Le retour des Ă©lus (discours positif et motivĂ© de Mr le Maire), ainsi que la prĂ©sence notable du public au vernissage, nous encourage et nous rassure dans notre capacitĂ© Ă  construire ensemble des projets artistiques de qualitĂ©. Les habitants se sont prĂȘtĂ©s au jeu, et l’Ă©mulation au sein mĂȘme de l’association Ă©tait au rendez vous. L’entraide et l’Ă©change de savoirs-faire ont pu permettre l’Ă©mergence de quatre Ɠuvres créées et exposĂ©es dans et pour la ville de Foix. « Ensemble » Collage de silhouettes de loups illustrĂ©es de maniĂšre participative et placĂ©es dans une ruelle. Installation artistique in situ proposĂ©e par Nirina Ledantec et rĂ©alisĂ©e de maniĂšre participative avec les jeunes du FAJIP et les habitants de Foix. [pullquote align=center] « Pour mettre en valeur la rue Louve et rendre hommage Ă  cet animal mythique Ă  la rĂ©putation sulfureuse. J’ai eu envie de reprĂ©senter une meute de loups arpentant la rue en chantant en chƓur. (
) Ce chant peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un hymne Ă  la solidaritĂ© dans la mesure ou sa fonction premiĂšre est de rĂ©affirmer la cohĂ©sion du groupe. Les loups chantent avec des variations constantes et propres Ă  chaque individu, pour rallier le clan, prĂ©venir de sa prĂ©sence, exprimer ses sentiments, mais aussi pour le plaisir
 Force est de constater que le hurlement est un vĂ©ritable langage, quand un loup chante, les autres rĂ©pondent au loin. Si l’homme le fait, ils rĂ©pondent Ă©galement. Que peuvent-ils vouloir nous dire? » Nirina Ledantec [/pullquote]   « Commandant Robert » Portrait agrandit jusqu’Ă  la pixellisation, du Commandant Robert (figure emblĂ©matique de la rĂ©sistance FuxĂ©enne lors de la 2nd Guerre mondiale qui a libĂ©rer la ville le 19 Aout 1944) aurĂ©olĂ©e de plusieurs empreintes de main colorĂ©es rĂ©alisĂ©s par Cyrielle Gondom et les jeunes du FAJIP, puis collĂ© sur un mur de Foix, place du Commandant Robert. Cyrielle propose aux enfants des allĂ©es de Lucien Gorron  de venir dĂ©poser l’empreinte de leur main au couleur des rĂ©publicain c’est Ă  dire le jaune, le violet et le rouge. Plus qu’un travail esthĂ©tique Cyrielle s’engage dans un travail de mĂ©moire auprĂšs des jeunes ainsi que dans l’apprentissage de l’histoire ainsi que des valeurs de notre ville. [pullquote align=center] « Apposer les empreintes de mains d’habitants de Foix autour du portait du Commandant Robert en tĂ©moignage de respect Ă  ce rĂ©sistant ayant jouĂ© un rĂŽle majeur dans l’histoire de notre ville : Un geste de reconnaissance en mĂ©moire de ce hĂ©ros discret, venu de l’autre cotĂ© des PyrĂ©nĂ©es, pour dĂ©fendre des valeurs de libertĂ©. » Cyrielle Gondon [/pullquote] « Pantomime » – Installation vidĂ©o de LoĂŻc Marchand, prĂ©sentĂ©e dans la vitrine d’un commerce de Foix. Ce court mĂ©trage artistique, projetĂ© en boucle dĂšs la nuit tombĂ©e, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© avec la participation de bĂ©nĂ©voles locaux et de membres de l’association. Cette vidĂ©o sans sons invite l’usager du centre ville Ă  Ă©couter avec les yeux et Ă  se crĂ©er Ă  l’aide de la danse, un rythme musical. Elle suscite la mĂȘme surprise que son protagoniste c’est a dire le « pourquoi je suis la ? Qu’est ce que je vois ? » [pullquote align=center] « Ce film muet invite le public Ă  Ă©couter avec les yeux et Ă  se recrĂ©er mentalement le rythme perçu. (
) Il (LoĂŻc Marchand) nous prĂ©sente le spectacle d’une sociĂ©tĂ©, oĂč la spĂ©cialisation de chacun de ses membres annihile et sublime toute efficacitĂ© au bĂ©nĂ©fice de l’Ă©laboration esthĂ©tique d’un vĂ©ritable « tableau vivant ». Cette rĂ©ification de corps peut alors apparaĂźtre comme un clin d’Ɠil Ă  la composition des tableaux des grands maitres Italiens de la Renaissance. » Mr Rachavor [/pullquote] « TĂȘte en l’air » L’installation artistique in situ de Florent BarruĂ© consiste en l’application de photographies de portraits d’individus locaux, tirĂ©es sur des supports transparents. Elles sont placĂ©s sur trois des faces des lanternes publiques Ă©clairant plusieurs rues de la ville de Foix, (Laborie, Lazemma)  crĂ©ant ainsi un « parcours nocturne ». Florent a accompagnĂ© un groupe de jeune de FAJIP de foix dans le centre afin de collecter toute une sĂ©rie d’émotions il les a initier au portrait photographique. Ils ont ensemble sĂ©lectionnĂ© les plus beaux tirage afin de mettre en lumiĂšre les portraits des usagers du centre ville. [pullquote align=center] « Palette de sentiments qui parcourent les villes. La pluralitĂ© des Ă©motions que vĂ©hiculent les hommes participe Ă  l’ñme du